Qui sommes-nous ?
Qui sommes-nous ?
L’histoire de LDCI s’inscrit dans un long combat, mené de générations en générations, par des femmes et des hommes qui ne se sont jamais résignés à l’injustice, la déraison, les inégalités qui sévissent un peu partout dans le monde.
Nous sommes des personnes ayant compris qu’il est improductif de faire de la politique dans la crispation. En Côte d’Ivoire, force est de constater qu’après la mort du père de na nation ivoirienne, le président Felix Houphouët-Boigny, la politique est devenue est « jeu dangereux » qui mène à tout sauf au bonheur des ivoiriens. Entre crises postélectorales, et rébellion, la scène politique ivoirienne est devenue l’arène des partis politiques qui ressemblent à des syndicats ethniques. La question de la construction de la nation est reléguée au dernier plan au profit d’une construction de microsphère politique où on retrouve des pro-Gbagbo, des pro-Bédié, des pro-Ouattara etc. C’est dans cette configuration que des ivoiriens veulent se regrouper pour un militantisme citoyen et républicain. Pour nous, c’est la Côte d’Ivoire qui nous intéresse, assurer le bien-être des ivoiriens et penser le développent du pays reste notre credo.
Un mouvement social, porté par une énergie collective et rassembleuse, qui revendique le choix de l’écoute sincère et de la parole positive et fédératrice.
Un mouvement citoyen, où toutes celles et ceux qui s’engagent pourront se retrouver, échanger et travailler, pour construire un horizon politique désirable. Et faire nombre. Car les changements qu’une personne isolée ne peut souvent qu’espérer, des millions d’ivoiriens organisés en écosystème efficace peuvent les rendre possibles.
Un mouvement politique, présent sur tout le territoire et pensé pour que chacun.e trouve la forme d’engagement qui correspond le mieux à ses envies et à ses contraintes. Certain.e.s souhaitent militer pour préparer les échéances électorales, d’autres cherchent à s’informer ou se former, voire à porter des combats écologiques et sociaux spécifiques. La société civile y aura toute sa place, de même que les intellectuel·les, les chercheurs·euses, les artistes…
Sur le plan économique, nous sommes pour une économie sociale de marché. En effet, c’économie sociale de marché, c’est concilier à la fois l’économie de marché, présentée comme un universel indiscutable et indépassable, et le souci de la justice sociale. L’économie sociale de marché qui n’est pas une sorte de troisième voie entre capitalisme sans limites et communisme collectiviste, a pour objectif de combiner, sur la base d’une économie concurrentielle, l’initiative privée et le progrès social. Dans ce modèle, l’État est le garant explicite de l’ordre économique et social, le premier reposant sur le libéralisme, ce qui nécessite un État doté d’une forte autorité dans le domaine réglementaire. Cette volonté de concilier des éléments apparemment contraires peut apparaître comme l’essence innovatrice majeure de l’économie sociale de marché. L’économie sociale de marché ne constitue pas un système achevé, mais un concept évolutif qui demeure un facteur important de cohésion politique et sociale des pays qui l’adoptent.



Ensemble, nous changerons le paysage social et politique de la Côte d’Ivoire
